Sépulture N042 dans Marche ancien cimetière - Chaussée de l'Ourthe



Stèle sculptée et décorée.

Concession renouvelée pour 50 ans à partir du 3 mai 1973 ( Décision du Collège des Bourgmestres et Echevins en sa séance du 3 mai 1973 )


Jacques Rossignon a fait toute sa carrière professionnelle, comme journaliste, au sein de La Meuse Luxembourg, entre 1950 et 1992.
Il a été un pilier de la vie culturelle marchoise durant plus de 50 ans. Membre du Syndicat d’initiative dès 1954, il en a été fait président honoraire.
De 1965 à 2010, il a aussi été actif au sein de la Fédération touristique du Luxembourg belge, dont il a été président de 1977 à 1987.
Jacques Rossignon fut également un des premiers membres de la confrérie du Matoufé, a porté le Musée de la Dentelle sur les fonts baptismaux et a œuvré au dynamisme du Marché 1900.

Arlette Rossignon, une grande dame au service de la vie culturelle marchoise s’en est allée.

Mieux connue des Marchois sous le nom d’Arlette Rossignon, Arlette Joris, née à Liège le 18 septembre 1932, a fait partie durant plus de cinquante ans de la vie culturelle marchoise avec son mari, Jacques Rossignon, qui a été chef d’édition de La Meuse Luxembourg durant de nombreuses années et membre du syndicat d’initiative, dont il a été le président honoraire.

Il était donc normal qu’Arlette s’implique également dans cette vie culturelle en étant un des premiers membres de la confrérie du Matoufè. Arlette ne s’est d’ailleurs pas contentée de cette confrérie puisqu’elle a été bénévole durant plus de 53 ans au sein du syndicat d’initiative et a été une des chevilles ouvrières de l’opération concours des façades fleuries mise sur pied par ce même syndicat d’initiative.

N’oublions pas non plus son implication durant 25 ans au sein de l’Œuvre Nationale de l’Enfance sans oublier de nombreuses autres associations.

Arlette n’aura laissé que de bons souvenirs aux nombreuses personnes que sa vie active lui a permis de côtoyer. Mieke Piheyns, l’ancienne échevine marchoise de l’Environnement a d’ailleurs eu l’occasion de travailler avec elle lors des opérations façades fleuries et n’a que des éloges à faire à son sujet: «Arlette laissera un grand vide dans la vie des Marchois et ce bien qu’elle s’était retirée de la vie active depuis quelques années. Il émanait d’elle de fortes valeurs car elle respectait tout le monde et savait ce qu’elle faisait. À travers les fleurs, Arlette ressentait la vie des personnes, les vraies valeurs de la vie. Du point de vue familial, on voyait qu’elle était une grand-mère comblée.»

Mariés à Rochefort le 8 novembre 1951, Jacques et Arlette ont eu une fille, trois fils, huit petits enfants et de nombreux arrière-petits-enfants. Source : Avenir du Luxembourg du 31/08/2020


Type(s) de sépulture
Autre type ?
Matériaux
Autre matériaux ?
Aspect visuel Toujours utilisé
Aspect légal
Sépulture Intérêt Historique Locale Historique|Artistique|Social
Architectural
Fonction sociale
Aucune inscription sociale Non défini
Inhumation avant 1945 ? Non
Combattant 14-18 Non
Combattant 40-45 Non

Epitaphe

1) Famille ROSSIGNON - GREGOIRE.
2) François Rossignon époux de Antoinette Grégoire décédé à Marche le 26 mars 1880 à l'âge de 58 ans.
3) Concession perpétuelle.
4) A nos grands-parents.

Concession cédée à perpétuité à Madame Antoinette Grégoire Veuve de Monsieur François Rossignon, négociant domicilié à Marche, à ce présent et acceptant la portion contiguë à celle concédée à la famille Lambiotte-Vigneron par acte avenu devant moi notaire instrumentaire, le seize janvier 1877, la dite portion de la contenance de vingt cinq centiares reprise sous le numéro 42 du plan du cimetière (enregistré à Marche le vingt-neuf octobre 1867), vendue au prix de trois cents francs (cent mille francs l'hectare au profit de la commune, plus une somme de cinquante francs à titre de donation aux pauvres pour le bureau de bienfaisance).
Acte passé à Marche en l'étude, le 13 septembre 1880 devant Maître Emmanuel Jadot, notaire à la résidence de Marche, en présence des Sieurs Victor Hardenne, menuisier et Jean Alexandre, ouvrier serrurier, tous deux demeurant à Marche, témoins appelés, lesquels ont signé avec Messieurs Ducamp et Henroz Echevins.
Approuvé par le Conseil communal en séance, à Marche, le 1er novembre 1880.
Approuvé par la Députation permanente du Conseil provincial à Arlon, le 10 novembre 1880.
Source: Archives de l'Etat à Arlon - Actes notariaux concessions cimetière Saint Roch

Liste des noms indiqués sur cette sépulture


Nom Né le Décédé le
Grégoire Marie Antoinette 13/12/1908
Joris Arlette 18/09/1932 29/08/2020
Rossignon François Lambert 26/03/1880
Rossignon Jacques 06/11/1927 24/08/2015

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